Collection Jeune Vieux. Le Cabanon De Pêche (1/1)
Au pardon, beau-papa je vous croyais parti à votre cabane de pêche comme tous les jours de lété.
Sonia avait besoin de la voiture pour aller au marcher et super-marcher après un rendez-vous chez son médecin.
Elle devait prendre la voiture et y aller seule, mais au dernier moment son fils a voulu laccompagner.
Il laime Guy, sa maman, par moments jen serais presque jalouse, mais par chance ce sentiment mest inconnu surtout envers sa mère.
Que voulais-tu Gladys !
Faire la chambre, jaime me rendre utile, jai déjà fait la nôtre et je comptais finir par la vôtre, je sais que nous sommes samedi et que belle-maman change les draps.
Jen ai amené une paire de larmoire à linge dans lentrée.
Attends, je me lève et je te laisse la place, je vais aller faire des mots croisés dans la cuisine.
De toute façon, il est trop tard pour aller pêcher à la cabane.
Mais beau-papa vous vous levez tout nu devant moi.
Tu es mariée à mon fils, des verges, surtout au repos, tu as dû en voir dautres.
Dis-moi que tu étais vierge quand ton père, ta conduite à lhôtel ou tu attendais Guy conduit par Sonia mon épouse.
Cest vachement intime ce que vous me demandez, même Guy ignore sil a été le premier.
Mais dites-moi, comment se fait-il quil est un si petit kiki comparé au vôtre ?
Je te le dis si tu me donnes une réponse à ma question.
Bon, je pense que ce qui vous allez mannoncer est plus important que le pucelage que jai perdu à 17 ans par le frère de mon père.
Ton oncle, cest lui qui ta ?
Surtout pas, on avait cinq ans décart et on était beau tous les deux.
Tu las aimé !
Comme une jeune femme souvrant à la vie.
Ça sent dautres fois, en as-tu eu plusieurs ?
Taratata, vous me faite me confier oubliant de me dire ce secret que je sens planer ici.
Tu as raison, tu vois Gladys, cette verge aurait pu er ton mari.
Mais ta belle-mère en a décidé autrement.
Un amant, jai compris !
Un, cest un doux euphémisme, cinq, cinq gaillards qui se disputaient son corps quand je suis revenu de voyage quelles heures avant celles prévue.
Cinq dont deux en même temps.
Lun devant, lautre derrière.
Et lun deux avait une petite bite.
Croix-tu que je suis resté à regarder.
Pourquoi être resté !
Lhabitude, petite Gladys, jignore ce quel fait quand elle me dit quelle va quelque part, mais jai mes habitudes et je ferme les yeux.
Regarde ce matin, quand elle est venue me voir pour me dire quelle partait avec son fils, à son regard, je savais quelle allait se faire baiser.
Le médecin quelle prétend voir, au troisième étage dun immeuble en ville, son amant est au quatrième.
Quand ton mari rentrera, demande-lui discrètement avec du tact ce quil a fait pendant que sa maman chérie allait chez le médecin.
Voilà sa réponse.
« Maman a demandé de lattendre dans la voiture en écoutant la radio. »
Bref, je suis sûr davoir raison et je men contrefiche, jai mon cabanon de pêche et jai pris lhabitude de my réfugier.
Mais dit donc, ton regard vers mes attributs, tu commences à me faire bander !
Approche et laisse ces draps sur le lit, Geneviève les changera à son retour.
Il faut bien quelle participe, elle aussi.
Être attiré comme un aimant par un homme plus âgé que moi, à aucun moment mon cerveau laurait envisagé, surtout Charles mon beau-père, mais cette belle verge, grosse noueuse avec ses veines saillantes, je mavance.
Pose tes draps, tu vas les faire tomber.
Je le fais et je mets ma main sur ce bout de chair tout dur.
Chair et sang qui la gonfle me permettant simplement au début de lécher le gland.
Par chance contrairement à ma belle-mère qui a une petite bouche pincée, la mienne en forçant légèrement lenglouti.
Tu es doué, tu es la première à me faire une gorge profonde.
Tu aimes !
Je fais oui de la tête, ma bouche montante et descendante sur sa verge, le pompant un peu plus vite à deux doigts de le faire décharger.
Et, on est bien parti, jen veux plus.
Je vois tes seins par léchancrure de ton peignoir, ôte-le !
Je le fais lui montrant lintégralité de ma poitrine.
Belle-maman en a des petits et commençant à tomber.
Jen ai des gros 95 fermes et durs.
Cest sa main droite qui me relève en saisissant le gauche.
Il tire légèrement mobligeant à suivre si je veux le garder.
Sa main libre descend vers mon sexe, deux doigts me pénètrent.
Mais tu mouilles petite salope.
En levrette sur le lit, cest ma position favorite et toi tu aimes.
Jadore.
Cest seule que je me mets en position pour le recevoir.
Mon cerveau sest vidé, seule cette énorme verge noueuse mimporte.
Oublié les tabous entre beau-père et belle-fille.
Son âge ainsi que le mien.
Seuls nos sexes nous importent surtout quand il me plante profitant de ma mouille pour me pénétrer jusquà ses couilles tapant sur mon cul.
Oui, putain, oui, putain, putain, putain.
Tu me défonces, mais cest bon, putain.
Tu aimes mon sexe, je vois que tu aimes les mots orduriers, petite chienne.
Me disant ces mots, il empoigne mes cheveux quil rassemble dans sa main, comme une natte et quil tire violemment vers lui.
Comment par des mots, je peux définir la jouissance qui massaille ?
Dois-je écrire des ah ! ah ! ah ! ou des oh ! oh ! oh ! comme des putains, putain, putain pour exprimer lorgasme que cette vieille bite mapporte.
Jai joui régulièrement sous les quelques verges que jai croisées jusquà celle de Guy que jai épousée par amour, du moins je le croyais.
Bref, orgasme pour moi, de grands jets pour lui paraissant intarissable.
Il décharge tellement de foi que je sens son sperme sortir de mon vagin et couler le long de mes cuisses.
Il me lâche les cheveux me permettant de mécrouler vers lavant alors quil se laisse tomber à mes côtés pour éviter de mécraser, je suis si frêle comparé à lui, masse imposante.
Je me love près de lui, je sens quil me protège.
Je sais, cest con, alors quil vient de me baiser faisant fi que je sois sa belle-fille.
On recommencera.
Autant que tu le veux, mais pas ici, ce serait trop dangereux.
Dis-moi où !
À mon cabanon, là-bas nous serons tranquilles, je suis toujours seul à pêcher.
Pendant le repas, tu me demanderas ce que je pêche et ce que je fais des poissons.
Je te lexpliquerais, tu voudras voir et je te proposerais de temmener pour une partie cette après-midi.
Guy sorti de sa maman et de ses livres quil bouquine toute la journée pendant ces vacances, nous laissant libre.
Le cabanon, je lai depuis ma naissance, cest mon père qui la construit.
Jai essayé dintéresser mon fils à ma passion, mais les chronozones de son père biologique devaient diverger des miens.
Il a toujours refusé de venir, même quand je lui ai expliqué que je pêchais des carpes que je photographie avant de leur rendre leur liberté.
Tu verras, les murs sont tapissés de ces photos avec des noms pour chacune.
Certaines, ça fait dix fois, même douze pour Marta, une femelle que je connais depuis bien longtemps.
La première fois que je lai attrapé elle mesurait 12 centimètres la dernière fois plus dun mètre.
Nous nous sommes relevés, jai été prendre une douche oubliant de me laver la chatte pour garder les spermatozoïdes entrés en moi.
À leur retour beau papa avait raison mon mari est resté dans la voiture à écouter de la musique.
Comme prévu nous allons dans le cabanon dès laprès-midi sans que belle-mère et mari aient le moindre soupçon.
Comment pourrait-il en être autrement ?
Qui pourrait penser quune jeune femme un peu plus de vingt ans baise avec son beau-père, la soixantaine dans une cabane en planches une fois les lignes mises à leau.
Ce quil y a de bien avec la pêche à la carpe, cest quune fois le coup amorcé par des boulettes envoyées avec un lance-pierre, les cannes tendues, il vous reste à attendre.
Et je sais comment nous passerons le temps.
Oui, Gladys, suce-moi encore, je sais que si je continue, tu vas mamener à la mort, mon cur risquant de flancher.
Mais une petite salope, putain de surcroit à ce quelle me dit, si elle me fait mourir ainsi, cest la mort la plus belle que je puisse espérer.
Je relève la tête.
Tais-toi, vieux crouton, viens me baiser, je dégouline denvie.
Cest fait, jai rejoint le cabanon avec la bénédiction de mon mari.
Nous baisons principalement alors que lui ou moi se trouve dans les fauteuils en toile qui servent même à dormir quand il pratique la pêche de nuit.
Jusquà la fin de mon séjour, ces pêches nous lavons pratiquée deux fois.
Deux fois ou mon corps a vibré sous ses coups de boutoir.
Pour donner le change, je fais deux choses.
La première, deux jours, jai prétexté une migraine pour rester couchée.
Ça a marché, Guy est venu me consoler avec un linge mouillé quil a appliqué sur mon front.
Jétais à deux doigts déclater de rire, mais bon le change avait été donné.
Le deuxième, cest lorsque jai écarté mes cuisses pour quil me prenne en bonne épouse que je lui fais croire être, alors que je suis une belle cochonne.
Bref, quand mes beaux-parents nous reconduisent au train, je suis repu de sexe et de grosse bite.
Cest quelques semaines plus tard que le test de grossesse rend son verdique, positif.
Mon fils, car ce sera un fils, aura son père près de lui ou suivant la volonté du très haut sur la côte.
Si son père est Charles, il sentira le plaisir extrême sous la verge de mon amant que je ressentirai même en décembre pour Noël où nous nous retrouverons.
Le cabanon a un poêle à bois qui évitera un rhume pour mon bébé avant lheure.
Enfin lorsque jaurais accouché, dans la fraction de seconde où il commencera à hurler à voir son zizi, je pourrais dire qui est le père.
Guy est enchanté en attendant la naissance dun fils, alors que moi je serais satisfaite de remettre en place, larbre généalogique de la famille.
LADN de Charles ayant retrouvé la place ou la tromperie de ma belle-mère lavait plongé.
Je suis la femme la plus heureuse de notre terre.
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