Collection Jeune – Vieux. Le Cabanon De Pêche (1/1)

• Au pardon, beau-papa je vous croyais parti à votre cabane de pêche comme tous les jours de l’été.
• Sonia avait besoin de la voiture pour aller au marcher et super-marcher après un rendez-vous chez son médecin.
Elle devait prendre la voiture et y aller seule, mais au dernier moment son fils a voulu l’accompagner.
• Il l’aime Guy, sa maman, par moments j’en serais presque jalouse, mais par chance ce sentiment m’est inconnu surtout envers sa mère.
• Que voulais-tu Gladys !
• Faire la chambre, j’aime me rendre utile, j’ai déjà fait la nôtre et je comptais finir par la vôtre, je sais que nous sommes samedi et que belle-maman change les draps.
J’en ai amené une paire de l’armoire à linge dans l’entrée.
• Attends, je me lève et je te laisse la place, je vais aller faire des mots croisés dans la cuisine.
De toute façon, il est trop tard pour aller pêcher à la cabane.
• Mais beau-papa vous vous levez tout nu devant moi.
• Tu es mariée à mon fils, des verges, surtout au repos, tu as dû en voir d’autres.
Dis-moi que tu étais vierge quand ton père, ta conduite à l’hôtel ou tu attendais Guy conduit par Sonia mon épouse.
• C’est vachement intime ce que vous me demandez, même Guy ignore s’il a été le premier.
Mais dites-moi, comment se fait-il qu’il est un si petit kiki comparé au vôtre ?
• Je te le dis si tu me donnes une réponse à ma question.
• Bon, je pense que ce qui vous allez m’annoncer est plus important que le pucelage que j’ai perdu à 17 ans par le frère de mon père.
• Ton oncle, c’est lui qui t’a ?
• Surtout pas, on avait cinq ans d’écart et on était beau tous les deux.
• Tu l’as aimé !
• Comme une jeune femme s’ouvrant à la vie.
• Ça sent d’autres fois, en as-tu eu plusieurs ?
• Taratata, vous me faite me confier oubliant de me dire ce secret que je sens planer ici.
• Tu as raison, tu vois Gladys, cette verge aurait pu er ton mari.


Mais ta belle-mère en a décidé autrement.
• Un amant, j’ai compris !
• Un, c’est un doux euphémisme, cinq, cinq gaillards qui se disputaient son corps quand je suis revenu de voyage quelles heures avant celles prévue.
Cinq dont deux en même temps.
L’un devant, l’autre derrière.
• Et l’un d’eux avait une petite bite.
• Croix-tu que je suis resté à regarder.
• Pourquoi être resté !
• L’habitude, petite Gladys, j’ignore ce quel fait quand elle me dit qu’elle va quelque part, mais j’ai mes habitudes et je ferme les yeux.
Regarde ce matin, quand elle est venue me voir pour me dire qu’elle partait avec son fils, à son regard, je savais qu’elle allait se faire baiser.
Le médecin qu’elle prétend voir, au troisième étage d’un immeuble en ville, son amant est au quatrième.
Quand ton mari rentrera, demande-lui discrètement avec du tact ce qu’il a fait pendant que sa maman chérie allait chez le médecin.
Voilà sa réponse.
« Maman a demandé de l’attendre dans la voiture en écoutant la radio. »
Bref, je suis sûr d’avoir raison et je m’en contrefiche, j’ai mon cabanon de pêche et j’ai pris l’habitude de m’y réfugier.
Mais dit donc, ton regard vers mes attributs, tu commences à me faire bander !
Approche et laisse ces draps sur le lit, Geneviève les changera à son retour.
Il faut bien qu’elle participe, elle aussi.

Être attiré comme un aimant par un homme plus âgé que moi, à aucun moment mon cerveau l’aurait envisagé, surtout Charles mon beau-père, mais cette belle verge, grosse noueuse avec ses veines saillantes, je m’avance.

• Pose tes draps, tu vas les faire tomber.

Je le fais et je mets ma main sur ce bout de chair tout dur.
Chair et sang qui la gonfle me permettant simplement au début de lécher le gland.
Par chance contrairement à ma belle-mère qui a une petite bouche pincée, la mienne en forçant légèrement l’englouti.

• Tu es doué, tu es la première à me faire une gorge profonde.

Tu aimes !

Je fais oui de la tête, ma bouche montante et descendante sur sa verge, le pompant un peu plus vite à deux doigts de le faire décharger.

• Et, on est bien parti, j’en veux plus.
Je vois tes seins par l’échancrure de ton peignoir, ôte-le !

Je le fais lui montrant l’intégralité de ma poitrine.
Belle-maman en a des petits et commençant à tomber.
J’en ai des gros 95 fermes et durs.
C’est sa main droite qui me relève en saisissant le gauche.
Il tire légèrement m’obligeant à suivre si je veux le garder.
Sa main libre descend vers mon sexe, deux doigts me pénètrent.

• Mais tu mouilles petite salope.
En levrette sur le lit, c’est ma position favorite et toi tu aimes.
• J’adore.

C’est seule que je me mets en position pour le recevoir.
Mon cerveau s’est vidé, seule cette énorme verge noueuse m’importe.
Oublié les tabous entre beau-père et belle-fille.
Son âge ainsi que le mien.
Seuls nos sexes nous importent surtout quand il me plante profitant de ma mouille pour me pénétrer jusqu’à ses couilles tapant sur mon cul.

• Oui, putain, oui, putain, putain, putain.
Tu me défonces, mais c’est bon, putain.
• Tu aimes mon sexe, je vois que tu aimes les mots orduriers, petite chienne.

Me disant ces mots, il empoigne mes cheveux qu’il rassemble dans sa main, comme une natte et qu’il tire violemment vers lui.
Comment par des mots, je peux définir la jouissance qui m’assaille ?
Dois-je écrire des ah ! ah ! ah ! ou des oh ! oh ! oh ! comme des putains, putain, putain pour exprimer l’orgasme que cette vieille bite m’apporte.
J’ai joui régulièrement sous les quelques verges que j’ai croisées jusqu’à celle de Guy que j’ai épousée par amour, du moins je le croyais.
Bref, orgasme pour moi, de grands jets pour lui paraissant intarissable.
Il décharge tellement de foi que je sens son sperme sortir de mon vagin et couler le long de mes cuisses.

Il me lâche les cheveux me permettant de m’écrouler vers l’avant alors qu’il se laisse tomber à mes côtés pour éviter de m’écraser, je suis si frêle comparé à lui, masse imposante.
Je me love près de lui, je sens qu’il me protège.
Je sais, c’est con, alors qu’il vient de me baiser faisant fi que je sois sa belle-fille.

• On recommencera.
• Autant que tu le veux, mais pas ici, ce serait trop dangereux.
• Dis-moi où !
• À mon cabanon, là-bas nous serons tranquilles, je suis toujours seul à pêcher.
Pendant le repas, tu me demanderas ce que je pêche et ce que je fais des poissons.
Je te l’expliquerais, tu voudras voir et je te proposerais de t’emmener pour une partie cette après-midi.
Guy sorti de sa maman et de ses livres qu’il bouquine toute la journée pendant ces vacances, nous laissant libre.
Le cabanon, je l’ai depuis ma naissance, c’est mon père qui l’a construit.
J’ai essayé d’intéresser mon fils à ma passion, mais les chronozones de son père biologique devaient diverger des miens.
Il a toujours refusé de venir, même quand je lui ai expliqué que je pêchais des carpes que je photographie avant de leur rendre leur liberté.
Tu verras, les murs sont tapissés de ces photos avec des noms pour chacune.
Certaines, ça fait dix fois, même douze pour Marta, une femelle que je connais depuis bien longtemps.
La première fois que je l’ai attrapé elle mesurait 12 centimètres la dernière fois plus d’un mètre.

Nous nous sommes relevés, j’ai été prendre une douche oubliant de me laver la chatte pour garder les spermatozoïdes entrés en moi.
À leur retour beau papa avait raison mon mari est resté dans la voiture à écouter de la musique.

Comme prévu nous allons dans le cabanon dès l’après-midi sans que belle-mère et mari aient le moindre soupçon.
Comment pourrait-il en être autrement ?
Qui pourrait penser qu’une jeune femme un peu plus de vingt ans baise avec son beau-père, la soixantaine dans une cabane en planches une fois les lignes mises à l’eau.

Ce qu’il y a de bien avec la pêche à la carpe, c’est qu’une fois le coup amorcé par des boulettes envoyées avec un lance-pierre, les cannes tendues, il vous reste à attendre.
Et je sais comment nous passerons le temps.

• Oui, Gladys, suce-moi encore, je sais que si je continue, tu vas m’amener à la mort, mon cœur risquant de flancher.
Mais une petite salope, putain de surcroit à ce qu’elle me dit, si elle me fait mourir ainsi, c’est la mort la plus belle que je puisse espérer.

Je relève la tête.

• Tais-toi, vieux crouton, viens me baiser, je dégouline d’envie.

C’est fait, j’ai rejoint le cabanon avec la bénédiction de mon mari.
Nous baisons principalement alors que lui ou moi se trouve dans les fauteuils en toile qui servent même à dormir quand il pratique la pêche de nuit.
Jusqu’à la fin de mon séjour, ces pêches nous l’avons pratiquée deux fois.
Deux fois ou mon corps a vibré sous ses coups de boutoir.
Pour donner le change, je fais deux choses.
La première, deux jours, j’ai prétexté une migraine pour rester couchée.
Ça a marché, Guy est venu me consoler avec un linge mouillé qu’il a appliqué sur mon front.
J’étais à deux doigts d’éclater de rire, mais bon le change avait été donné.
Le deuxième, c’est lorsque j’ai écarté mes cuisses pour qu’il me prenne en bonne épouse que je lui fais croire être, alors que je suis une belle cochonne.

Bref, quand mes beaux-parents nous reconduisent au train, je suis repu de sexe et de grosse bite.
C’est quelques semaines plus tard que le test de grossesse rend son verdique, positif.
Mon fils, car ce sera un fils, aura son père près de lui ou suivant la volonté du très haut sur la côte.
Si son père est Charles, il sentira le plaisir extrême sous la verge de mon amant que je ressentirai même en décembre pour Noël où nous nous retrouverons.
Le cabanon a un poêle à bois qui évitera un rhume pour mon bébé avant l’heure.
Enfin lorsque j’aurais accouché, dans la fraction de seconde où il commencera à hurler à voir son zizi, je pourrais dire qui est le père.
Guy est enchanté en attendant la naissance d’un fils, alors que moi je serais satisfaite de remettre en place, l’arbre généalogique de la famille.
L’ADN de Charles ayant retrouvé la place ou la tromperie de ma belle-mère l’avait plongé.
Je suis la femme la plus heureuse de notre terre.

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